L’inquiétude générée par la robotisation est déclinée sur tous les tons : Si les robots tueurs inquiètent (voir ce billet) sur le problème de la responsabilité qu’ils engendrent, c’est aussi pour leur impact sur la #société et l’##emploi qu’ils sont montrés du doigt, avec les avancées technologiques.

En début de semaine, un article nous montrait la nécessité de changer notre société et son fonctionnement en décorréllant  le revenu du travail.

Aujourd’hui un édito paru dans les Echos, nous explique que la méfiance envers les progrès techniques et technologiques ne datent pas d’hier, et que les gouvernant ont souvent étés tentés d’empêcher les progrès techniques pour sauvegarder des emplois.

Plusieurs réflexions me viennent  à l’esprit :

– A t-on jamais vu les progrès techniques aller à rebours ? Le boulier chinois peut-il remplacer la calculatrice ou le scribe l’ordinateur ?

– Sommes nous réellement incapable d’adapter notre société aux avancées technologiques ? La vie ou la survie va-t-elle forcément de paire avec un travail rémunéré ? des auteurs comme Barjavel ont déjà envisagé l’abandon de cette idée.

Cet article a le mérite de nous rappeler que cette inquiétude ne date pas d’hier, et que jusqu’ici c’est le progrès et non conservatisme qui a gagné.

Si le progrès (l’évolution naturelle ?) est inéluctable, mieux vaut nous adapter que le combattre.

La nature gagne toujours

MLR

 

[…] Des innovateurs fabriquent des voitures qui roulent toutes seules, des robots à tout faire, bientôt des médecins numériques. Et les gouvernants seront tentés de les empêcher au nom de l’emploi.

[…] L’efficacité contre l’emploi !  […]L’automatisation ne concerne plus seulement quelques métiers mais des centaines.

Une étude publiée il y a dix-huit mois a cristallisé cette inquiétude.

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